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Les turpitudes de la CIA en Europe, de nouveau à l’affiche
Note IVERIS 10 oct, 2015
L’arrestation au Portugal d’une ex-agente de la CIA, accusée d’avoir participé au volet européen du programme US de « restitution extraordinaire », pourrait propulser à nouveau sur le devant de la scène cette pratique américaine, tout à fait particulière, qu’est le kidnapping de présumés terroristes et leur transfert extra-légal vers des pays peu scrupuleux en matière d’interrogatoire.
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A la réunion de l’OTAN, bon courage pour parler de renseignement
Notes d’actualité, 24 juin, 2015
L’ambiance n'est pas assurée, pour la réunion ministérielle de l’Alliance atlantique aujourd'hui. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la démonstration prévue de la parfaite unité transatlantique est quelque peu entachée par les toutes récentes révélations de Wikileaks sur l’espionnage américain contre trois présidents de la République successifs. L’actuel chef de l’Etat y compris.
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La CIA aime travailler en Europe: c'est facile, c'est chic et on reste entre amis
Notes d’actualité, 28 déc, 2014
La CIA forme ses agents à déjouer les contrôles de sécurité aux frontières de l’UE, d’après les manuels de l’Agence de renseignement US publiés par Wikileaks. Comme le note celui-ci, les documents, datés de 2011 et 2012, « prouvent que l’administration Obama et la CIA continuent de vouloir infiltrer les frontières de l’Union européenne, en conduisant des opérations clandestines sur le sol européen ». Sans surprise, ils sont classés « NOFORN » (pour no foreigners), autrement dit à ne pas partager avec les services d’espionnage alliés.
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Renseignement américain : les factures du « colosse »
Brèves, 30 aout, 2013
Les révélations du Washington Post sur le budget noir du renseignement US ont un double intérêt. D’une part ce que le journal confirme, de l’autre ce qu’il retient. La « position dominante » de la CIA est soulignée, en précisant que la croissance vertigineuse de ses dépenses a servi à « financer des prisons secrètes, un programme d’interrogation controversé, le déploiement de drones tueurs » etc. Le constat est sec : « l’agence s’est transformée d’un service d’espionnage qui peine à sortir de la guerre froide, en une force paramilitaire ». Avec un budget de 2,6 milliards de dollars dédié aux seules opérations secrètes. Les documents confirment également la sur-technologisation du renseignement américain : « la dépendance par rapport aux systèmes de surveillance high-tech s’est encore accentuée pour combler les lacunes du renseignement humain ».
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